En deux mots
Le Sony PCM-D50 se place dans la gamme des mini-enregistreurs portables tout intégré d'un prix abordable. La concurrence était rude face aux Zoom H4 ou H2, Edirol R-09, Tascam DR-1 et autre M-Audio Microtrack. Sony, après une courte absence dans l'audio, revient avec cet enregistreur digital PCM-D50, petit frère nettement plus économique du populaire PCM-D1 sorti il y a moins de trois ans. Le D50 est beaucoup moins luxueux, son boîtier est en aluminium, celui du PCM-D1 est en titane, mais il dispose du même bargraphe digital rétro-éclairable, cependant sans les vumètres semi-circulaires de modulation. L'écran LCD est très lisible et la navigation dans les menus se fait aisément. A la différence du D1, le bouton rotatif d'enregistrement est couplé, donc il n'y a aucune possibilité de jouer sur la balance des deux canaux.
Le PCM-D50 comprend deux micros électret que l'on peut orienter à 90° (couple XY) ou à 120° (couple AB) et peuvent être protégés contre le vent par une bonnette Koala*. Mais attention, au risque d'être déçu, inutile de vouloir les comparer avec des micros professionnels comme les Schoeps, Neumann ou Sennheiser. Par contre rien n'empêche de brancher en externe deux microphones Schoeps CMBi (alimentation interne au micro), le résultat est surprenant.
Les entrées/sorties sont identiques à celles du PCM-D1, à savoir une entrée micro stéréo, une entrée ligne analogique / optique, une sortie ligne analogique / optique, une prise casque, un port USB 2.0, ainsi qu'un port de télécommande.
Étonnante, la consommation du PCM-D50 est minimale et permet une autonomie d'environ 10 heures avec seulement 4 piles AA. Il peut aussi s'alimenter par une source externe fournissant du 6 Volts continu.
Le PCM-D50 dispose de 4 Go de mémoire et d'un port Memory Stick très utile pour la post-production. Il propose des enregistrements à 22,05 / 44,1 / 48 / 96 kHz en PCM (WAV) 16 ou 24 bits, expoitables par toutes les stations de montage.
L'ergonomie est excellente, très intuitive, et le PCM-D50 est prêt à enregistrer en moins d'une seconde après la mise en route. Un pre-roll de 5 secondes peut être fort utile pour les débuts de son imprévisibles (cloches, sirène, arrivée de train...)
Ce produit est courament appelé :
Sony PCM-D50, Sony PCMD50, Sony PCM D50, Sony PCMD 50, Sony PCMD-50, PCM-D50, PCMD50, PCM D50, PCMD 50, PCMD-50
Le PCM-D50 comprend deux micros électret que l'on peut orienter à 90° (couple XY) ou à 120° (couple AB) et peuvent être protégés contre le vent par une bonnette Koala*. Mais attention, au risque d'être déçu, inutile de vouloir les comparer avec des micros professionnels comme les Schoeps, Neumann ou Sennheiser. Par contre rien n'empêche de brancher en externe deux microphones Schoeps CMBi (alimentation interne au micro), le résultat est surprenant.
Les entrées/sorties sont identiques à celles du PCM-D1, à savoir une entrée micro stéréo, une entrée ligne analogique / optique, une sortie ligne analogique / optique, une prise casque, un port USB 2.0, ainsi qu'un port de télécommande.
Étonnante, la consommation du PCM-D50 est minimale et permet une autonomie d'environ 10 heures avec seulement 4 piles AA. Il peut aussi s'alimenter par une source externe fournissant du 6 Volts continu.
Le PCM-D50 dispose de 4 Go de mémoire et d'un port Memory Stick très utile pour la post-production. Il propose des enregistrements à 22,05 / 44,1 / 48 / 96 kHz en PCM (WAV) 16 ou 24 bits, expoitables par toutes les stations de montage.
L'ergonomie est excellente, très intuitive, et le PCM-D50 est prêt à enregistrer en moins d'une seconde après la mise en route. Un pre-roll de 5 secondes peut être fort utile pour les débuts de son imprévisibles (cloches, sirène, arrivée de train...)
Ce produit est courament appelé :
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