Il devra encore grimper 6 étages sans ascenseur pour atteindre son minuscule studio, dont le branchement électrique provient d'une dérivation sauvage sur l'éclairage du palier car, en ce moment, les finances intermittentes sont basses.
Au risque de provoquer un incendie, il passera alors le reste de la soirée à surveiller que les batteries se chargent correctement.
Alors, grâce à la SMO, conçue, réalisée et assemblée par DC Audiovisuel, inutile à présent d'emmener chaque soir chez soi des kilogrammes de batteries pour les recharger car, si vous disposez de secteur sur votre lieu de tournage, celui-ci est automatiquement choisi comme source primaire d'alimentation et les batteries sont alors connectées aux chargeurs internes ou externes en toute transparence.
Réciproquement, à la disparition du secteur, les batteries sont instantanément déconnectées des chargeurs pour pouvoir fournir l'alimentation nécessaire à l'ensemble des appareils de votre roulante. Cette bascule secteur/batteries est instantanée, silencieuse et automatique.
La SMO est donc un système d’alimentation centralisée pour les appareils professionnels de prise de son, alimentés en basse tension continue (12 V DC). La SMO utilise comme source primaire d’énergie soit le secteur (de 110 à 220 volts AC), soit une ou deux batteries de 12 volts. L’entrée secteur est universelle, de 90 V AC à 260 V AC, de 47 à 63 Hz. Les entrées de batteries se trouvent en face avant, pour plus de commodité en cas de changement de celles-ci. Actuellement, la SMO est câblée pour des batteries de 12 volts, chimie au plomb, d’une capacité individuelle de 12 Ah. Cependant, nos ateliers peuvent, sur demande, adapter la SMO à des capacités différentes et, dans un futur très proche, à des chimies différentes.
La SMO est pourvue d’une alimentation interne de 13 volts fournissant 150 watts d’alimentation primaire répartis sur cinq sorties indépendantes, de tensions et puissances adaptées aux appareils à alimenter :
- Sortie n° 1 : 13 volts, 30 watts (soit 2,3 A) pour l’enregistreur (Cantar-X, PD-6, PD4, Deva II ou IV ou V, etc.)
- Sortie n° 2 : 15 volts, 30 watts (soit 2 A) pour la console de mélange (Sonosax SX-S, SX-ST, Cooper CS 106 ou CS 108, etc.)
- Sortie n° 3 : 12 volts, 20 watts (soit 1,7 A) pour l’ensemble des récepteurs et émetteursHF (Audio LTD, Sennheiser, Zaxcom, Lectrosonics, etc.)
- Sortie n° 4 : max. 2 A, de 11 à 13 volts suivant l’état de la charge de la (des) batterie(s), ou de la connexion de la SMO au secteur.
- Sortie n° 5 : plusieurs options possibles, à définir lors du montage de la SMO : 12 ou 15 volts, en 15 ou 20 watts (appareil audio supplémentaire) ; ou 16,5 volts ou 24 volts, en 50 ou 75 watts (micro ordinateur portable) ; ou encore une sortie identique à la sortie n° 4, non régulée, de 2 A max. (lampe, vidéo, accessoire.)
Ces cinq sorties sont disponibles en face arrière de l’appareil, sur des connecteurs standard XLR4F. Toutes les sorties de tension inférieure ou égale à 15 volts se font entre la broche 1 (–) et 4 (+) du connecteur. La sortie éventuelle de tension supérieure à 15 volts (sortie n° 5) se fait entre les broches 1 (–) et 3 (+), pour protéger un appareil inopinément connecté...
Les sorties 1, 2, 3 et 5 sont sur convertisseurs à masse flottante, garantissant une tension de sortie constante quelle que soit la capacité de la batterie (chargée ou déchargée), ou du secteur (présent ou absent). Cela garantit également un minimum d’interférences, audibles ou non, entre les différentes alimentations internes aux appareils. Cela permet enfin d’alimenter des appareils à tension inversée (type Nagra, + à la masse) sans aucun risque de bouclage ou de court-circuit.
Une télécommande, solide et de petites dimensions, permet de déporter les indicateurs et commandes de la SMO à la vue directe de l’utilisateur. Cette télécommande permet de :
- Mettre en ou hors service chacune des cinq sorties ; comme les convertisseurs DC / DC consomment un courant de repos non négligeable, même lorsqu’ils ne débitent pas, il est important de ne mettre en service que les sorties utilisées afin d’optimiser l’autonomie du système lorsqu’on fonctionne sur batterie(s).
- Visualiser l’état de chaque sortie par l’indicateur lumineux intégré à chaque interrupteur : éteint, sortie hors service ; allumé en vert, sortie en service et “OK” ; allumé en rouge, sortie en service mais “KO”. Ce dernier cas prévient d’une surchauffe, d’une surconsommation, ou d’un court circuit sur la sortie indiquée : celle-ci se met alors en auto-protection (0 volt.)
- Visualiser la présence du secteur par la led rouge “AC On”, allumée même lorsque la SMO est éteinte.
- Visualiser la tension primaire d’alimentation (secteur ou batterie(s)) sur l’écran LCD.
- Et, à terme, visualiser sur le même LCD la capacité restante de la (des) batterie(s), exprimée globalement en % de la capacité initiale déclarée lors du “reset” de la jauge.
La SMO est disponible aussi bien à la location qu'à l'achat.
Son câblage électrique étant aussi complexe que celui de l'A380, sans compter les nombreux mois qui ont été nécessaires à la mise au point de la SMO par notre ingénieur développement, font que son prix de vente, tout en étant moins onéreux que celui de l'Airbus, s'en ressent néanmoins.
Car comme aimait à le raconter un célèbre industriel, il y a trois manières de se ruiner : le jeu, les femmes, et les ingénieurs. Les deux premières étant plutôt agréables, mais la dernière plus sûre.
Au risque de provoquer un incendie, il passera alors le reste de la soirée à surveiller que les batteries se chargent correctement.
Alors, grâce à la SMO, conçue, réalisée et assemblée par DC Audiovisuel, inutile à présent d'emmener chaque soir chez soi des kilogrammes de batteries pour les recharger car, si vous disposez de secteur sur votre lieu de tournage, celui-ci est automatiquement choisi comme source primaire d'alimentation et les batteries sont alors connectées aux chargeurs internes ou externes en toute transparence.
Réciproquement, à la disparition du secteur, les batteries sont instantanément déconnectées des chargeurs pour pouvoir fournir l'alimentation nécessaire à l'ensemble des appareils de votre roulante. Cette bascule secteur/batteries est instantanée, silencieuse et automatique.
La SMO est donc un système d’alimentation centralisée pour les appareils professionnels de prise de son, alimentés en basse tension continue (12 V DC). La SMO utilise comme source primaire d’énergie soit le secteur (de 110 à 220 volts AC), soit une ou deux batteries de 12 volts. L’entrée secteur est universelle, de 90 V AC à 260 V AC, de 47 à 63 Hz. Les entrées de batteries se trouvent en face avant, pour plus de commodité en cas de changement de celles-ci. Actuellement, la SMO est câblée pour des batteries de 12 volts, chimie au plomb, d’une capacité individuelle de 12 Ah. Cependant, nos ateliers peuvent, sur demande, adapter la SMO à des capacités différentes et, dans un futur très proche, à des chimies différentes.
La SMO est pourvue d’une alimentation interne de 13 volts fournissant 150 watts d’alimentation primaire répartis sur cinq sorties indépendantes, de tensions et puissances adaptées aux appareils à alimenter :
- Sortie n° 1 : 13 volts, 30 watts (soit 2,3 A) pour l’enregistreur (Cantar-X, PD-6, PD4, Deva II ou IV ou V, etc.)
- Sortie n° 2 : 15 volts, 30 watts (soit 2 A) pour la console de mélange (Sonosax SX-S, SX-ST, Cooper CS 106 ou CS 108, etc.)
- Sortie n° 3 : 12 volts, 20 watts (soit 1,7 A) pour l’ensemble des récepteurs et émetteursHF (Audio LTD, Sennheiser, Zaxcom, Lectrosonics, etc.)
- Sortie n° 4 : max. 2 A, de 11 à 13 volts suivant l’état de la charge de la (des) batterie(s), ou de la connexion de la SMO au secteur.
- Sortie n° 5 : plusieurs options possibles, à définir lors du montage de la SMO : 12 ou 15 volts, en 15 ou 20 watts (appareil audio supplémentaire) ; ou 16,5 volts ou 24 volts, en 50 ou 75 watts (micro ordinateur portable) ; ou encore une sortie identique à la sortie n° 4, non régulée, de 2 A max. (lampe, vidéo, accessoire.)
Ces cinq sorties sont disponibles en face arrière de l’appareil, sur des connecteurs standard XLR4F. Toutes les sorties de tension inférieure ou égale à 15 volts se font entre la broche 1 (–) et 4 (+) du connecteur. La sortie éventuelle de tension supérieure à 15 volts (sortie n° 5) se fait entre les broches 1 (–) et 3 (+), pour protéger un appareil inopinément connecté...
Les sorties 1, 2, 3 et 5 sont sur convertisseurs à masse flottante, garantissant une tension de sortie constante quelle que soit la capacité de la batterie (chargée ou déchargée), ou du secteur (présent ou absent). Cela garantit également un minimum d’interférences, audibles ou non, entre les différentes alimentations internes aux appareils. Cela permet enfin d’alimenter des appareils à tension inversée (type Nagra, + à la masse) sans aucun risque de bouclage ou de court-circuit.
Une télécommande, solide et de petites dimensions, permet de déporter les indicateurs et commandes de la SMO à la vue directe de l’utilisateur. Cette télécommande permet de :
- Mettre en ou hors service chacune des cinq sorties ; comme les convertisseurs DC / DC consomment un courant de repos non négligeable, même lorsqu’ils ne débitent pas, il est important de ne mettre en service que les sorties utilisées afin d’optimiser l’autonomie du système lorsqu’on fonctionne sur batterie(s).
- Visualiser l’état de chaque sortie par l’indicateur lumineux intégré à chaque interrupteur : éteint, sortie hors service ; allumé en vert, sortie en service et “OK” ; allumé en rouge, sortie en service mais “KO”. Ce dernier cas prévient d’une surchauffe, d’une surconsommation, ou d’un court circuit sur la sortie indiquée : celle-ci se met alors en auto-protection (0 volt.)
- Visualiser la présence du secteur par la led rouge “AC On”, allumée même lorsque la SMO est éteinte.
- Visualiser la tension primaire d’alimentation (secteur ou batterie(s)) sur l’écran LCD.
- Et, à terme, visualiser sur le même LCD la capacité restante de la (des) batterie(s), exprimée globalement en % de la capacité initiale déclarée lors du “reset” de la jauge.
La SMO est disponible aussi bien à la location qu'à l'achat.
Son câblage électrique étant aussi complexe que celui de l'A380, sans compter les nombreux mois qui ont été nécessaires à la mise au point de la SMO par notre ingénieur développement, font que son prix de vente, tout en étant moins onéreux que celui de l'Airbus, s'en ressent néanmoins.
Car comme aimait à le raconter un célèbre industriel, il y a trois manières de se ruiner : le jeu, les femmes, et les ingénieurs. Les deux premières étant plutôt agréables, mais la dernière plus sûre.