En deux mots
Les cartes SDHC/SDXC supplantent peu à peu les cartes CompactFlash limitées par leur interface parrallèle et leur fragilité. La norme SD (Secure Digital) a évolué au fil du temps pour offrir toujours plus de vitesse et toujours plus de capacité. Quatre révisions principales concernent essentiellement le bus d'interface dont les dernières version sont UHS-I (type I) et UHS-II (type II). Les cartes SD utilisent une connexion sur un port série par contacts glissants moins fragiles que la connexion à 50 picots de la carte CompactFlash.
Pour caractériser les vitesses des cartes SD, les fabricants s'appuient sur une classification à 3 étages : les classes de vitesses C2, C4, C6, C10 permettent une écriture séquentielle minimale de 2 à 10 Mo/s. Les classes de vitesses UHS (Ultra High Speed) U1, U3 permettent une écriture séquentielle minimale de 10 Mo/s (comme la classe C10) à 30 Mo/s avec un bus UHS type I ou type II. Enfin les classes de vitesse vidéo V6, V10, V30, V60, V90, définies pour les supports destinés à la vidéo, permettent une écriture séquentielle de 6 Mo/s (comme la classe C6), 10 Mo/s (comme la classe C10), 30 Mo/s (comme la classe C30) pour la vidéo 4K, jusqu'à 90 Mo/s prévue pour l'enregistrment de vidéo 8K. Une même carte peut donc être C10/U1/V10 ou U3/V30. Une carte U3 n'est pas forcément avec un bus UHS-II !
Les cartes du type SD UHS-I ont une seule ligne de 8 contacts sur le bord. Les cartes du type SD UHS-II (prévues avant tout pour la vidéo) ont une ligne de 8 contacts supplémentaires sur le milieu de la carte.
Trois formats de tailles sont possibles : le format SD original, le plus utilisé dans le monde audio/vidéo professionnel, le format miniSD (moitié hauteur, peu utilisé) et le format microSD courament utilisé dans les smartphones.
Autant dire que l'ingénieur du son peut être désorienté quant au choix du bon support pour son enregistreur ou sa mixette !
Nos recommandations
Une seule solution : respecter consciencieusement les listes de compatibilité des fabricants qui s'appuient généralement sur la marque Sandisk. DC Audiovivuel est à même de fournir des cartes SDHC ou SDXC qui respectent les recommandations des fabricants d'enregistreurs et de mixettes.
Même si la connexion de la carte SD se fait par contacts glissants, il ne faut jamais forcer son introduction, sous peine de la bloquer dans le slot. Si elle ne rentre pas, c'est qu'elle est dans le mauvais sens !
Pour caractériser les vitesses des cartes SD, les fabricants s'appuient sur une classification à 3 étages : les classes de vitesses C2, C4, C6, C10 permettent une écriture séquentielle minimale de 2 à 10 Mo/s. Les classes de vitesses UHS (Ultra High Speed) U1, U3 permettent une écriture séquentielle minimale de 10 Mo/s (comme la classe C10) à 30 Mo/s avec un bus UHS type I ou type II. Enfin les classes de vitesse vidéo V6, V10, V30, V60, V90, définies pour les supports destinés à la vidéo, permettent une écriture séquentielle de 6 Mo/s (comme la classe C6), 10 Mo/s (comme la classe C10), 30 Mo/s (comme la classe C30) pour la vidéo 4K, jusqu'à 90 Mo/s prévue pour l'enregistrment de vidéo 8K. Une même carte peut donc être C10/U1/V10 ou U3/V30. Une carte U3 n'est pas forcément avec un bus UHS-II !
Les cartes du type SD UHS-I ont une seule ligne de 8 contacts sur le bord. Les cartes du type SD UHS-II (prévues avant tout pour la vidéo) ont une ligne de 8 contacts supplémentaires sur le milieu de la carte.
Trois formats de tailles sont possibles : le format SD original, le plus utilisé dans le monde audio/vidéo professionnel, le format miniSD (moitié hauteur, peu utilisé) et le format microSD courament utilisé dans les smartphones.
Autant dire que l'ingénieur du son peut être désorienté quant au choix du bon support pour son enregistreur ou sa mixette !
Même si la connexion de la carte SD se fait par contacts glissants, il ne faut jamais forcer son introduction, sous peine de la bloquer dans le slot. Si elle ne rentre pas, c'est qu'elle est dans le mauvais sens !